Mercredi 3 mars, à l'Express, rue de Chateaudun, Paris
Revenir au siège de l'Express quatre mois plus tard produit une drôle de sensation. On repense à notre première venue, en octobre : on avait alors découvert un défi, ambitieux et exigeant. A la sortie, nous nous étions tous regardés, un peu angoissés. Et puis, dans le train du retour, nous avions décidé de parier et de déployer toute notre énergie dans cette aventure. Quatre mois plus tard, l'énergie est toujours là. Et aujourd'hui, l'impatience s'y ajoute : enfin, nous allons découvrir notre « bébé », celui que nous avons porté pendant ces derniers mois.
Stéphane Renault, notre parrain, nous amène dans une salle consacrée au Défi Grandes Écoles. Il nous présente les deux maquettistes qui s'occupent de notre enquête. Sur les murs, tous les reportages des autres écoles sont aussi affichés. On les découvre, en avant-première. Sur le mur de droite, le nôtre. C'est tellement différent de voir nos textes mis en page ! Passer des lignes écrites, un soir, sur un ordinateur portable, dans une chambre d'étudiant.... à un texte bien agencé dans la maquette de l'Express, c'est impressionnant ! Et tout simplement génial ! Toute la matinée est dédiée à la relecture : dans la salle Mimosas, au 2°étage, on repasse tous nos textes en revue.
Pour la énième fois, on traque les petites erreurs qui pourraient s'y être glissées. Le maquettiste de la Une passe aussi avec différentes propositions, selon les clichés que nous lui avons donné. On discute pour déterminer celle qui véhicule le message le simple pour l'acheteur. On finit par en élire une, mais surprise, on garde le secret jusqu'au 18 mars ! Pause repas à la cafétéria de l'Express. C'est l'occasion de parler de nos impressions sur cette aventure... qui n'est pas encore finie ! D'ailleurs, on y retourne dans la bonne humeur. Direction la salle des maquettistes : on passe l'après-midi à retravailler certaines légendes et à apporter les dernières modifications.
Vers 17h15, l'intégralité du supplément, la version quasiment définitive est imprimée. On la repasse une fois encore au peigne fin et chacun repart, sa version sous le bras ! Prochaine étape : voir le fruit de notre travail sur les devantures des kiosques, sur des affiches partout en ville... et entre les mains des lecteurs niçois et varois ! Cette journée nous a permis de voir le résultat concret de plusieurs mois de travail. Honnêtement, et sans en révéler davantage, nous sommes contents du produit fini ! Je ne souhaite plus qu'une chose : qu'il plaise aussi à nos lecteurs !
Stéphane Renault, notre parrain, nous amène dans une salle consacrée au Défi Grandes Écoles. Il nous présente les deux maquettistes qui s'occupent de notre enquête. Sur les murs, tous les reportages des autres écoles sont aussi affichés. On les découvre, en avant-première. Sur le mur de droite, le nôtre. C'est tellement différent de voir nos textes mis en page ! Passer des lignes écrites, un soir, sur un ordinateur portable, dans une chambre d'étudiant.... à un texte bien agencé dans la maquette de l'Express, c'est impressionnant ! Et tout simplement génial ! Toute la matinée est dédiée à la relecture : dans la salle Mimosas, au 2°étage, on repasse tous nos textes en revue.
Pour la énième fois, on traque les petites erreurs qui pourraient s'y être glissées. Le maquettiste de la Une passe aussi avec différentes propositions, selon les clichés que nous lui avons donné. On discute pour déterminer celle qui véhicule le message le simple pour l'acheteur. On finit par en élire une, mais surprise, on garde le secret jusqu'au 18 mars ! Pause repas à la cafétéria de l'Express. C'est l'occasion de parler de nos impressions sur cette aventure... qui n'est pas encore finie ! D'ailleurs, on y retourne dans la bonne humeur. Direction la salle des maquettistes : on passe l'après-midi à retravailler certaines légendes et à apporter les dernières modifications.
Vers 17h15, l'intégralité du supplément, la version quasiment définitive est imprimée. On la repasse une fois encore au peigne fin et chacun repart, sa version sous le bras ! Prochaine étape : voir le fruit de notre travail sur les devantures des kiosques, sur des affiches partout en ville... et entre les mains des lecteurs niçois et varois ! Cette journée nous a permis de voir le résultat concret de plusieurs mois de travail. Honnêtement, et sans en révéler davantage, nous sommes contents du produit fini ! Je ne souhaite plus qu'une chose : qu'il plaise aussi à nos lecteurs !
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